Projet agricole Benin

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L'indépendance, c'est quand nous serons capables de produire notre nourriture et de la consommer . La richesse est dans l'agriculture et il n'y a aucun pays au monde qui sait développer en laissant de côté son agriculture .Tant qu'un pays ne consomme pas ce qu'il produit aucun développement ne sera possible.


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Contexte du projet

Un partenariat gagnant-gagnant qui se vérifie par l’attractivité croissante du modèle.
L’intérêt est similaire du côté des cultivateur , qui se sont peu à peu convertis au modèle en voyant le succès des premières production : « Nos résultats sont notre meilleur outil éducatif : les cultivateur voient qu’au-delà des intrants et de l’accès au marché, nous les formons aux pratiques agricoles modernes.
LA SASF a accompagné 420 cultivateurs sur 2000 hectares cultivés et les objectifs de la SASF pour 2019 c'est de trouvez des investisseur pour allez juste qu'au 10000 hectare et plus car L’agriculture est un secteur fort porteur et les statistique disent en 2050 la population Africaine aura doubler donc plus de bouche a nourrir. Les investisseurs gagnent de l’argent tout en changeant la vie de quelqu’un, ça devient très attractif. »

La sociétéagricole Sonouga&Fils dispose d'un laboratoire de transformation alimentaire aux normes. Le laboratoire est à état de construction et n'est pas encore terminé et sera étalé sur deux étages. Leétage sera dédié à la transformation de produits agricoles comme le piment, la tomate, la farine de manioc tandis que le second étage sera consacré au traitement des animaux comme le lapin. Le démarrage effectif des activités du laboratoire est prévu pour2020. Il faut, par ailleurs, noter que les charges estimées pour le laboratoire ne sont pas encore inscrites au capital social

 

A propos du projet

 

La SASF constate que près d'un 1 millions de petites exploitations agricoles au Benin ont d’énormes besoin de financement, de formation et de structuration.

La SASF propose au cultivateur du Benin de financer leur production , moyennant un retour sur investissement annuel de 27 à 39 %. Les exploitations sélectionnées sont de taille moyenne (2 à 10 hectares) et disposent de capacités de production inexploitées faute de capital et de débouchés. La SASF prend ainsi à sa charge l’intégralité des coûts liés à l’exploitation des unités agricoles supplémentaires, qu’il s’agisse de cultures : maïs, riz, manioc, Ananas, Orange, Arachide, Aubergine, , Carotte, Chou, Concombre, Igname, , Oignon, Patate douce,Piment, Haricot, Tomate, Gombo, Noir de palme, huile, Acajou, Aloès, Vain de palme, Sésame, Soja, l’élevage et la pisciculture.

Durant tout le cycle de récolte, le cultivateur est accompagné par la SASF qui le forme aux techniques modernes d’agriculture, tandis que les investisseurs reçoivent une fois par semaines photos, vidéos et rapports sur l’avancement des cultures. Des visites de fermes sont également proposées aux investisseurs qui voudraient se rendre sur le terrain.
Une fois la récolte vendue, le profit est réparti entre le cutivateur (50 %), et la SASF (50 %). L’investissement minunum est de 500000 FCFA , la SASF et les cultivateur gagnent en moyenne entre 900000 FCFA et 1700000 FCFA par hectare(l'an) selon la culture et nous faisons passer nos Cultivateur d’un rendement de 2,5 à 8 tonnes par hectare »,

 

 

 

L'équipes de la SASF sur le terrain travaillent avant tout sur la formation et la lutte contre les mauvaises pratiques (semence souvent erratique, l’absence de soin – désherbage et engrais – pendant la pousse…). La SASF apporte également équipements mécaniques et tracteurs.

Le travail de terrain porte ses fruits et le retour sur investissement se situe entre 27 à 39 %, les cultivateurs triplent leur revenu annuel . Un partenariat gagnant-gagnant qui se vérifie par l’attractivité croissante du modèle.
L’intérêt est similaire du côté des cultivateur , qui se sont peu à peu convertis au modèle en voyant le succès des premières production : « Nos résultats sont notre meilleur outil éducatif : les cultivateur voient qu’au-delà des intrants et de l’accès au marché, nous les formons aux pratiques agricoles modernes.
LA SASF a accompagné 420 cultivateurs sur 2000 hectares cultivés et les objectifs de la SASF pour 2019 c'est de trouvez des investisseur pour allez juste qu'au 10000 hectare et plus car L’agriculture est un secteur fort porteur et les statistique disent en 2050 la population Africaine aura doubler donc plus de bouche a nourrir. Les investisseurs gagnent de l’argent tout en changeant la vie de quelqu’un, ça devient très attractif. »

Via le site de la SASF. « On rend l’agriculture attrayante pour les gens, qui trouvent un moyen d’investir sans se salir les mains », . L'agriculture est la première source de richesse du Bénin. Elle constitue le secteur le plus important de l'économie béninoise. Elle contribue pour 32,7 % en moyenne au PIB, 75 % aux recettes d’exportation, 15 % aux recettes de l’État et fournit environ 70 % des emplois. Elle contribue aussi et surtout à assurer la sécurité alimentaire du pays. La SASF consacre 20% de ses bénéfices annuels à la réalisation d’œuvres sociales et charitables : scolarisation et formations des plus démunis, aides aux familles en difficultés, amélioration des conditions de viedes populations, etc.

Le porteur de projet

Originaire du BENIN, le « Quartier latin de l’Afrique » SONOUGA Houélékou est né le 1er janvier 1937 dans le département du mono, commune de houéyogbé, arrondissement de Dahè, village djètoè.
Née de père HOUNYO Sonouga et de mère KOUTCHIMI Hounsikpè tous agriculteurs, SONOUGA Houélékou est un agriculteur depuis l’âge de 18 ans vers les années 1955.
Agriculteur dès son jeune âge, il est le producteur de gombo, de vin de palme, de Sodabi, de tomate, de coton où il obtient le premier prix Nobel de meilleurs producteurs de coton de NONO COUFFO vers les années 1980.
Également producteur d’oranges, d’ananas, de palmier, de maïs, d’où il obtient son second prix Nobel de meilleurs producteurs de maïs dans MONO COUFFO vers les années 1986.
Enfin producteur de manioc, d’arachide, d'haricots et de piment où il obtient son troisième prix Nobel de meilleurs producteurs de piment de MONO COUFFO vers les années 1994
EN 2014 SONOUGA Houélékou élu la première personnalité du Roi de DAHE et il vit jusqu’au présent dans son domicile à Dahè maison SONOUGA.

 

Nos besoins

Dans le financement des cultivateurs du Benin et d'achat de machine agricole 

Impact Social

12 personnes soutenues

Faq

Comment nourrir la population en 2050